La Pastorale de la santé recrute
Visiter des malades c’est mettre en acte l’amour du Christ.
Sur notre secteur paroissial une même équipe de la Pastorale de la Santé assure le service sur Sainte Anne et sur Saint Clair. Son rôle est d’apporter l’amour du Christ aux personnes qui ne peuvent plus se déplacer dans nos églises.
Les bénévoles se rendent soit à leur domicile, soit dans les établissements tels que les Ehpad pour faire communauté entre les résidents et les paroissiens dans le respect de la liturgie.
La Pastorale de la Santé de notre paroisse recherche des bénévoles pour étoffer et/ou remplacer les équipes actuelles. Venez rencontrer les bénévoles et discuter avec eux pour mieux comprendre leur action et peut-être vous engager vous aussi par la suite.
Une formation diocésaine de quelques journées est proposée aux bénévoles ; elle est prise en charge par la paroisse.
Les échanges avec les malades et les plus fragiles apportent beaucoup. Leur gratitude enrichit le bénévole. C’est le signe que Dieu se manifeste !
« J’étais malade et vous m’avez visité. […] Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25,36).
Contact : Père Gilles Priou, gilles.priou@wanadoo.fr
Témoignage de bénévole
“Lorsque Geneviève Hardy m’a contactée pour ce service, ma première réaction a été de refuser, les maisons de retraite me terrifiaient (je n’exagère pas), Geneviève a insisté me proposant de l’accompagner une fois pour me permettre de me rendre compte. Ce jour-là avec elle j’avais la gorge nouée, j’étais à la limite de pleurer… puis j’ai réfléchi et je me suis dit que peut-être Jésus m’attendait à cet endroit.
Depuis presque 10 ans que j’assure ce service, je peux témoigner de la richesse de cet engagement, de belles rencontres, des souffrances et des moments forts de prière, suivis souvent d’un grand apaisement, la joie toute simple d’un temps partagé et surtout la Sainte communion distribuée à des personnes qui ne peuvent plus aller à la messe. C’est Jésus vivant qui vient à leur rencontre dans ces maisons de fin de vie.”
Catherine Bunot